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infirmiere a domicile
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L’infirmier à domicile : un rôle essentiel pour les patients atteints de maladies auto-immunes à Rome

Par le Dr Nicola Verdirame, Infirmier à l’Aventino Medical Group, Rome Introduction : un service concret pour des besoins complexes Les maladies auto-immunes, telles que la polyarthrite rhumatoïde, le lupus érythémateux systémique et la sclérose en plaques, nécessitent des soins continus et parfois délicats. Les soins infirmiers à domicile, que je réalise pour l’Aventino Medical Group à Rome, sont conçus pour garantir aux patients un soutien technique qualifié directement chez eux. L’objectif est de simplifier la gestion des thérapies, de réduire les déplacements et d’assurer la continuité des soins dans le respect des prescriptions médicales. Services infirmiers à domicile : interventions complètes et précises Des soins de routine aux procédures les plus spécialisées L’activité quotidienne comprend des perfusions, l’administration de thérapies biologiques, des prélèvements, des pansements avancés et la gestion des cathéters. Toutes les interventions sont réalisées conformément aux indications des médecins de l’Aventino Medical Group et aux recommandations de l’Institut Supérieur de Santé et de l’OMS. Proposer ces prestations à domicile permet de gagner du temps, de réduire le stress lié aux déplacements et de maintenir une continuité thérapeutique même dans des situations cliniques complexes. Coordination avec les spécialistes impliqués Travail d’équipe lorsque nécessaire Lorsque le tableau clinique l’exige, l’activité infirmière à domicile est intégrée aux indications des différents spécialistes qui suivent le patient : rhumatologues, neurologues, internistes et autres professionnels de notre centre. Cette coordination permet de réaliser chaque procédure en accord avec le plan thérapeutique et de garantir la sécurité maximale ainsi que la cohérence des soins. L’infirmier comme formateur du proche aidant L’efficacité de ce rôle se manifeste pleinement dans sa capacité à transmettre des connaissances et des compétences pratiques au proche aidant. L’infirmier apprend au membre de la famille à : Ce processus de formation soulage non seulement le proche aidant d’une charge émotionnelle et pratique, mais en fait aussi un participant actif et conscient du parcours de soins. En se sentant plus compétent et sûr de lui, le proche aidant peut fournir une assistance de meilleure qualité, contribuant ainsi de manière significative au bien-être et à la qualité de vie du patient. L’infirmier à domicile devient alors un point de référence, un allié précieux pour toute la famille, garantissant une continuité des soins qui dépasse la simple prestation professionnelle. Un service qui facilite la gestion de la maladie Compétence technique au cœur de l’assistance Les soins à domicile ne se limitent pas à éviter les déplacements : il s’agit d’un modèle organisationnel qui permet de recevoir des soins spécialisés rapidement et dans le plein respect des prescriptions médicales. Des interventions techniques réalisées avec attention et précision contribuent à rendre la gestion des maladies auto-immunes plus simple et plus sûre pour les patients et leurs familles. Conclusion Les soins infirmiers à domicile représentent un soutien fondamental pour ceux qui doivent faire face à des thérapies complexes et continues. Grâce à mon travail pour l’Aventino Medical Group, il est possible de bénéficier de prestations qualifiées, y compris les plus délicates, directement à domicile, en coordination avec les spécialistes impliqués dans la prise en charge. 👉 Réservez un service infirmier à domicile afin d’évaluer ensemble le parcours le plus adapté à vos besoins.

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Maladies Rhumatologiques Auto-immunes : Comprendre et Relever un Défi Complexe

Par le Dr Pier Giacomo Cerasuolo, Rhumatologue à l’Aventino Medical Group, Rome Les maladies rhumatologiques auto-immunes représentent l’un des défis les plus complexes de la pratique clinique moderne. Ce sont des affections dans lesquelles le système immunitaire, en altérant les mécanismes de reconnaissance du “soi”, attaque les tissus sains, provoquant une inflammation chronique et des dommages potentiellement permanents. Les articulations sont souvent touchées, mais il n’est pas rare d’observer également des manifestations cutanées, neurologiques ou un atteinte des organes internes. Un diagnostic précoce et un traitement ciblé peuvent aujourd’hui modifier de manière significative l’histoire naturelle de ces pathologies, en préservant la fonction articulaire et en améliorant la qualité de vie. Un Cas pour Comprendre : Polyarthrite Rhumatoïde Débutante Il y a quelque temps, j’ai suivi une jeune femme, que j’appellerai Laura, âgée de 35 ans. Elle présentait des douleurs et des gonflements aux petites articulations des mains, une raideur matinale durant plus d’une heure et une fatigue profonde perturbant sa routine quotidienne. Les examens de laboratoire montraient une positivité pour le facteur rhumatoïde et les anticorps anti-CCP, associés à des marqueurs inflammatoires élevés. Nous avons rapidement instauré un traitement par un DMARD conventionnel (Disease-Modifying Anti-Rheumatic Drug = médicament antirhumatismal modificateur de la maladie), complété par un programme de kinésithérapie douce et des conseils alimentaires visant à réduire l’inflammation systémique. Après quelques mois, les contrôles ont montré une rémission clinique : le gonflement articulaire avait disparu et Laura avait repris son travail ainsi que ses passions quotidiennes, démontrant combien il est crucial de ne pas ignorer les premiers symptômes, même peu spécifiques. Une Autre Perspective : Lupus Érythémateux Systémique Un autre cas significatif concerne un homme de 28 ans, que j’appellerai Marco, venu consulter pour une fièvre légère persistante, des douleurs articulaires migratrices et l’apparition d’un érythème en papillon sur le visage après une exposition solaire. Les analyses biologiques ont montré une positivité pour les anticorps antinucléaires (ANA) et anti-ADN natif, ainsi qu’une diminution du complément sérique. Dans ce cas, au-delà du contrôle des symptômes articulaires, il était essentiel de prévenir l’atteinte d’organes cibles tels que les reins et le cœur. Un traitement a été instauré par antipaludéens de synthèse, corticoïdes à faible dose, puis par une immunosuppression ciblée avec des biothérapies. L’approche pluridisciplinaire avec un néphrologue et un dermatologue a permis de stabiliser le tableau clinique et d’éviter des complications graves, permettant à Marco de poursuivre ses études universitaires avec une maladie maîtrisée. Caractéristiques Communes et Approche Diagnostique La polyarthrite rhumatoïde et le lupus ne sont que deux exemples de maladies rhumatologiques auto-immunes. D’autres affections incluent la sclérodermie, le syndrome de Sjögren et les spondyloarthrites. Ces pathologies partagent l’importance d’une évaluation clinique attentive, intégrant les symptômes rapportés par le patient, les signes objectifs relevés à l’examen et les examens complémentaires : marqueurs inflammatoires, auto-anticorps spécifiques, imagerie avancée. Identifier précocement l’activité de la maladie est déterminant pour intervenir avant l’installation de dommages irréversibles. Thérapies Innovantes et Approche Intégrée La prise en charge rhumatologique s’oriente aujourd’hui vers le principe du “treat to target” : définir un objectif thérapeutique (rémission ou faible activité de la maladie), surveiller constamment les résultats et adapter la thérapie en fonction de la réponse. Les DMARD conventionnels, les nouvelles biothérapies et les petites molécules ont élargi les options de traitement, permettant une approche personnalisée selon les caractéristiques du patient et de la pathologie. À cela s’ajoutent des interventions non pharmacologiques fondamentales : programmes d’exercices adaptés, soutien nutritionnel pour réduire l’inflammation systémique, accompagnement psychologique pour faire face au stress chronique souvent associé à ces affections. Perspectives Actuelles et Qualité de Vie L’expérience clinique confirme combien un parcours de soins partagé est essentiel, avec des réévaluations régulières et un dialogue constant entre médecin et patient. Les recommandations internationales soulignent l’importance d’une approche multidisciplinaire, valorisant toutes les dimensions de la personne et pas seulement la pathologie. Aujourd’hui, grâce aux avancées de la recherche et aux thérapies ciblées, de nombreuses personnes atteintes de maladies rhumatologiques auto-immunes mènent une vie active et autonome. Le défi reste exigeant, mais les perspectives se sont nettement améliorées par rapport au passé. ✨ Si vous vivez avec une maladie rhumatologique ou soupçonnez d’en avoir les premiers symptômes, en parler avec un spécialiste peut faire la différence. À l’Aventino Medical Group, notre approche multidisciplinaire vise un parcours de soins attentif et personnalisé.

le role de l'allergologhes
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Le rôle de l’allergologue-immunologue dans les maladies auto-immunes

Par la Dr Megon Bresciani, Allergologue-Immunologue au sein de l’Aventino Medical Group, Rome Comprendre le système immunitaire et ses dérèglements Les maladies auto-immunes représentent un domaine complexe et fascinant de la médecine moderne. Dans ces cas, le système immunitaire – normalement chargé de défendre l’organisme contre les virus, les bactéries et d’autres menaces extérieures – commet une erreur d’identification et attaque des tissus sains. Ce phénomène, connu sous le nom de perte de tolérance immunologique, est à l’origine de pathologies courantes telles que le lupus érythémateux systémique, la polyarthrite rhumatoïde et la thyroïdite de Hashimoto. Des études publiées dans des revues scientifiques internationales de référence, telles que The Lancet et Nature Reviews Immunology, démontrent qu’un diagnostic précoce et ciblé peut ralentir de manière significative la progression de la maladie. L’allergologue-immunologue joue un rôle essentiel dans l’identification de ces altérations immunitaires et dans l’élaboration d’un parcours diagnostique précis, en collaboration étroite avec d’autres spécialistes. Diagnostic précoce et marqueurs immunologiques Un aspect crucial de la prise en charge des maladies auto-immunes est l’identification de biomarqueurs spécifiques indiquant une altération de la réponse immunitaire. Ces marqueurs, détectables grâce à des analyses sanguines ciblées ou à des examens d’imagerie, permettent d’intervenir avant que les lésions tissulaires ne deviennent irréversibles. Selon les organes ou systèmes affectés par la pathologie auto-immune, l’allergologue-immunologue collabore étroitement avec des rhumatologues, dermatologues, endocrinologues, neurologues, ainsi que des nutritionnistes, dont l’implication est souvent recommandée dans la gestion de l’inflammation. Regrouper ces compétences au sein d’un même centre facilite le diagnostic, tandis qu’une évaluation partagée et multidisciplinaire favorise la mise en œuvre de thérapies efficaces et innovantes. Approches thérapeutiques et personnalisation des soins Une fois les mécanismes immunitaires impliqués identifiés, l’objectif devient de moduler de manière ciblée la réponse du système immunitaire. Les options thérapeutiques comprennent des médicaments immunosuppresseurs, des thérapies biologiques de nouvelle génération et des protocoles innovants validés par des études cliniques. L’allergologue-immunologue prend également en compte d’éventuelles comorbidités allergiques, telles que les rhinites ou les dermatites, qui peuvent compliquer le tableau clinique et nécessiter des interventions supplémentaires. Réduire l’inflammation, préserver la fonction des organes et améliorer la qualité de vie du patient représentent des objectifs concrets de ce travail intégré. Conclusions Le rôle de l’allergologue-immunologue dans les maladies auto-immunes est donc central : non seulement pour poser un diagnostic précis, mais aussi pour coordonner l’intervention de plusieurs spécialistes en vue d’élaborer des stratégies thérapeutiques personnalisées et de prévenir les dommages futurs. Faire confiance à des professionnels expérimentés et à une équipe multidisciplinaire, c’est garantir une prise en charge complète, toujours fondée sur les données scientifiques les plus récentes. 👉 Découvrez-en plus sur notre page dédiée à l’Allergologie de l’Aventino Medical Group

alimentation et maladies rhumatismales
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Alimentation et maladies rhumatismales : une approche stratégique pour réduire l’inflammation

Par la Prof. Manon Khazrai, Nutritionniste à l’Aventino Medical Group, Rome Introduction : le rôle de l’alimentation dans les maladies rhumatismales Les maladies rhumatismales sont des affections inflammatoires chroniques qui touchent les articulations, les muscles et les tissus conjonctifs. En complément des traitements pharmacologiques, de nombreuses études montrent qu’une alimentation adaptée peut contribuer à moduler les processus inflammatoires et à améliorer l’état clinique global.Un régime alimentaire équilibré et bien structuré soutient les thérapies, aide à préserver la fonctionnalité articulaire et favorise un état nutritionnel optimal. Régime méditerranéen et gestion de l’inflammation Parmi les modèles alimentaires les plus recommandés pour les patients atteints de maladies rhumatismales, le régime méditerranéen s’avère être l’un des plus efficaces. Il se caractérise par une consommation élevée de fruits, légumes, légumineuses, céréales complètes, poissons gras et huile d’olive extra vierge. Ce régime est associé à une diminution des marqueurs inflammatoires et à une amélioration de la qualité de vie.Adopter ce mode alimentaire en complément des soins médicaux peut aider à réduire la raideur articulaire, la douleur et les symptômes systémiques, tout en favorisant une meilleure réponse aux traitements. Nutriments clés pour le patient rhumatismal Certains nutriments jouent un rôle particulièrement important dans les maladies rhumatismales.Les fibres des fruits, légumes et céréales complètes favorisent l’équilibre intestinal et contribuent à réduire l’inflammation.Les antioxydants présents dans les légumes colorés et les fruits aident à contrer le stress oxydatif et protègent les tissus.Les oméga‑3, contenus dans les poissons gras ou certains compléments, modulent les réponses inflammatoires et peuvent atténuer la douleur. Recommandations générales Pour préserver la santé des articulations et le bien‑être général, il est conseillé de :● privilégier les aliments frais et peu transformés ;● augmenter la consommation de légumineuses, fruits secs et huile d’olive extra vierge ;● limiter les sucres simples, les graisses saturées et les produits ultra‑transformés.Maintenir ces choix alimentaires dans la durée peut offrir des bénéfices concrets en termes de réduction de l’inflammation et d’amélioration de la qualité de vie. Conclusion et invitation Une alimentation adaptée constitue un soutien essentiel pour les personnes atteintes d’une maladie rhumatismale. Elle ne remplace pas les traitements médicaux mais agit en synergie pour réduire l’inflammation et améliorer la réponse aux soins. Pour recevoir des conseils plus détaillés et un plan nutritionnel adapté à votre situation clinique, il est possible de demander une consultation nutritionnelle à l’Aventino Medical Group à Rome.👉 Prenez rendez‑vous pour une consultation nutritionnelle et approfondissez cette démarche.

faire face a une malatie rhumatismale
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Faire face à une maladie rhumatismale : pourquoi le soutien psychologique est essentiel

Par Dr John Lawrence Dennis, Psychologue – Aventino Medical Group, Rome Bien plus qu’une douleur physique Lorsque je rencontre une personne à qui l’on vient de diagnostiquer une maladie rhumatismale, je vois souvent bien plus qu’une douleur physique. Un profond bouleversement est en cours : un poids invisible s’installe alors qu’elle commence à imaginer un avenir différent. Il ne s’agit pas seulement de symptômes ou de traitements. Il s’agit d’identité, de relations, d’habitudes quotidiennes et d’un horizon incertain. L’impact émotionnel d’un diagnostic En tant que psychologue, j’ai appris à quel point un diagnostic peut ébranler une personne. Il peut apporter un soulagement — enfin comprendre ce qui se passait — mais aussi provoquer peur, tristesse et anxiété. Ce mélange d’émotions est profondément humain. Et c’est précisément pourquoi un soutien psychologique devrait faire partie du parcours de soins dès le début. Créer un espace pour exprimer ses émotions Dans mon travail, j’aide les personnes à trouver un espace où exprimer ces émotions. Parler librement, sans jugement, peut empêcher la détresse émotionnelle de s’installer en silence. C’est aussi la première étape pour retrouver un sentiment de maîtrise de sa vie. Construire des stratégies d’adaptation Ensemble, nous élaborons des stratégies d’adaptation réalistes et adaptées à la vie de chacun. Techniques de gestion du stress, restructuration cognitive, pleine conscience, ou même quelque chose de simple comme tenir un journal ou retrouver des moments de joie : ces petits outils renforcent peu à peu la résilience. Des outils concrets qui aident Voici quelques pratiques que je propose souvent : Santé émotionnelle et physique sont liées Je voudrais que chacun comprenne ceci : la santé émotionnelle et la santé physique ne sont pas séparées. Prendre soin de l’une influence l’autre. Le stress chronique peut aggraver l’inflammation et la douleur. La dépression peut rendre plus difficile le suivi des traitements. Mais avec le bon soutien, les personnes deviennent souvent plus motivées, plus attentives à leurs besoins et plus constantes dans leur parcours de soins. Un chemin vers l’espoir et la guérison Vivre avec une maladie rhumatismale n’est pas facile. Mais cela ne veut pas dire vivre sans espoir ni direction. Le soutien psychologique ne fait pas disparaître la maladie, mais il peut transformer la façon dont on la porte. Il peut vous aider à vous sentir de nouveau vous‑même.Et pour moi, c’est cela, le véritable sens de la guérison.

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Lésions rénales en Afrique : comment pratiquer la dialyse et sauver des vies sans moyens ni infrastructures dédi

par le Dr Stefano Picca, néphrologue à l’Aventino Medical Group, Rome Lorsque les reins tombent malades et cessent de fonctionner, la vie est en danger. Toutes les maladies rénales ne sont pas irréversibles (Maladie rénale chronique – MRC). Lorsque la lésion rénale est réversible (Lésion rénale aiguë – LRA), il est souvent nécessaire de remplacer temporairement la fonction rénale par une dialyse (épuration du sang) en attendant la récupération. La dialyse peut être réalisée en prélevant le sang d’un vaisseau du patient et en le faisant passer dans une machine qui le « nettoie » (hémodialyse) ou grâce à un cathéter placé dans l’abdomen, entre les anses intestinales. L’abdomen est régulièrement rempli et vidé d’une solution stérile qui purifie le sang circulant dans la cavité abdominale (dialyse péritonéale – DP). Cette dernière est plus simple à mettre en œuvre, moins coûteuse et constitue la méthode de dialyse recommandée dans les pays à faibles ressources. Une rencontre déterminante En 2013, j’ai eu l’occasion de rencontrer lors d’une conférence la professeure Mignon McCulloch, responsable du département de néphrologie pédiatrique du Red Cross Children’s Hospital au Cité du Cap, en Afrique du Sud. Elle dirigeait (et dirige encore aujourd’hui) le plus grand programme de formation pour le diagnostic et le traitement de la LRA pédiatrique par dialyse en Afrique. Je venais quant à moi d’une expérience acquise dans un contexte « haute technologie » à l’Hôpital Pédiatrique Bambino Gesù de Rome, entouré de machines sophistiquées, d’appareils électroniques de pointe et de nombreux collaborateurs spécialisés. J’ai été tout simplement stupéfait lorsque j’ai entendu la question : « Comment sauver un patient atteint de LRA lorsqu’on n’a pas le matériel, ni le personnel formé, et très peu de temps devant soi ? » Cela m’a semblé être le plus grand des défis. Grâce à son soutien, je suis devenu Educational Ambassador de l’ISN et j’ai commencé à me rendre dans des pays africains francophones et anglophones pour enseigner la DP. L’initiative “Saving Young Lives” Cet enseignement s’inscrit dans l’initiative Saving Young Lives (SYL) de l’ISN. Il consiste à adapter du matériel non spécifiquement dédié à la DP et à former des médecins et infirmiers inexpérimentés à sa mise en œuvre. Par exemple : Une expérience enrichissante Environ 200 médecins et infirmiers ont été formés au cours de mon activité en Afrique du Sud, Côte d’Ivoire, Sénégal, Gabon, Algérie et Cameroun.En dehors de l’Afrique, j’ai également été invité en Haïti et en Inde. Sur un plan personnel : j’ai eu une longue carrière riche en satisfactions, mais sans aucun doute, cette mission a été le choix le plus gratifiant de toute ma vie professionnelle. Résultats Les médecins et infirmiers formés par le programme SYL ont traité plus de 500 patients par DP, avec un taux de survie de 65 %. « Un cathéter peut sauver une vie. »

solidaritè interreligieuse
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Solidarité interreligieuse

par le Dr Nico Naumann, gynécologue à l’Aventino Medical Group, Rome Une vocation médicale au service des femmes En tant que médecin spécialisé dans les problèmes de fertilité, j’ai toujours voulu mettre mon expertise au service des femmes et des enfants dans les pays en développement. Mon travail avec différentes ONG m’a mené en Éthiopie et en Sierra Leone comme gynécologue-obstétricien, et à Rome, où j’ai assuré des soins gynécologiques essentiels. J’ai soigné des cas allant du VIH chez les femmes enceintes à la tuberculose causant l’infertilité, jusqu’aux victimes de mutilations génitales féminines, en Italie comme à l’étranger. Le Liban, une destination qui s’impose naturellement Ce n’est donc pas un hasard si un collègue m’a proposé de rejoindre l’ONG italienne Second Generation Aid (SGA), active au Liban, pour participer à ses efforts dans ce pays à la fois complexe et fascinant, situé au cœur du Levant turbulent. Une crise chronique, des besoins permanents Face aux crises politiques incessantes et aux agressions continues des pays voisins, la population libanaise a un besoin urgent de soins médicaux, de médecins spécialisés et de médicaments. Notre mission consistait à consulter des patients et à distribuer des médicaments à travers un réseau de monastères et d’écoles. J’étais impatient de découvrir cette région intrigante et d’y contribuer concrètement. Sur les routes du Liban : une mission entre logistique et engagement En avril dernier, je suis donc parti de Rome avec une équipe de médecins — un ophtalmologue, un dermatologue, un pharmacien et un kinésithérapeute — pour rejoindre Beyrouth avec Second Generation Aid. À notre arrivée, nous avons été accueillis par George, notre chauffeur, qui fut aussi notre guide et notre garde du corps tout au long de la mission.Notre première étape fut le sanctuaire de saint Charbel, le saint patron du Liban. Deux jours plus tard, nous étions au nord, dans une école dirigée par des sœurs catholiques. Nous changions de lieu tous les deux ou trois jours, et chaque fois nous consultions entre 40 et 60 patients de la communauté.SGA avait veillé à faire parvenir les médicaments à l’avance ainsi que des instruments essentiels comme une échographie portable. Cela n’a été possible que grâce à la coordination avec la branche italienne de la FINUL, la force de l’ONU opérant dans la zone tampon entre Israël et le Liban. Un pays morcelé, un peuple à soigner Le Liban est un carrefour de peuples venus de tous horizons : une multitude de religions, de confessions et de classes sociales se côtoient sur cette terre. Malheureusement, cette diversité exceptionnelle est souvent éclipsée par ceux qui détiennent ou convoitent le pouvoir et qui cherchent à diviser ce kaléidoscope humain en factions ennemies, au nom de jeux politiques. Pour nous, sur le terrain, chaque personne mérite dignité et soins. Une solidarité locale au-delà des appartenances religieuses Nous nous sommes appuyés sur la communauté chrétienne libanaise — maronite et catholique — pour faire venir les patients. Elles ont sillonné les campagnes, nous amenant des patients de toutes confessions : chiites, sunnites, orthodoxes, protestants, druzes et alaouites. Ce fut un témoignage éloquent de la richesse humaine du peuple libanais — et de notre humanité partagée — de constater que guerres et conflits affectent tous de la même manière, quelle que soit leur religion. Médecine de terrain : quand les corps portent les cicatrices du conflit En tant que gynécologue, j’ai vu des patients souffrant de troubles très variés : problèmes digestifs, colites, troubles du cycle menstruel, infertilité, maladies de la peau, pathologies du système circulatoire, et même de jeunes personnes hypertendues. Tous portaient les marques physiques de la vie sous la menace constante des bombardements et de la mort. Écouter pour mieux soigner Un poids psychologique supplémentaire concernait l’inquiétude pour leurs enfants. Notre équipe était formée pour écouter attentivement et leur faire comprendre qu’ils n’étaient pas oubliés. Le Liban, une leçon de coexistence Ce qui m’a le plus frappé au cours de cette mission à travers le Liban, en observant cette mosaïque d’ethnies et de parcours de vie (incluant aussi les réfugiés palestiniens et syriens plus récents), c’est la capacité incroyable du peuple libanais à vivre ensemble en paix. Foi et accueil au quotidien À plusieurs reprises, j’ai rencontré des musulmans qui s’intégraient activement dans une communauté chrétienne dominante — et inversement. De nombreux membres du clergé m’ont affirmé fièrement leur volonté de garder leurs portes ouvertes aux plus démunis. Certains se rendaient chaque semaine dans un camp de réfugiés syriens pour offrir un soutien matériel et émotionnel. Un phare à la frontière : l’école de sœur Béatrice Une mention spéciale revient à cette école du nord, à la frontière syrienne. Fondée et dirigée par des religieuses catholiques sous la direction de sœur Béatrice, une figure charismatique originaire de Chypre, l’école a vu le jour dans les années 1980, avec quelques salles louées. Elle accueille aujourd’hui environ 500 élèves, de la maternelle à 15 ans, avec des cours en arabe, anglais et français.Elle accueille également 50 enfants en situation de handicap, qui y apprennent à cuisiner, jardiner et gagner en autonomie. Partir avec gratitude, revenir avec un objectif À la fin de la mission, j’ai senti que nos efforts avaient été bien reçus. Je suis rentré à Rome avec la certitude que nous avions, même pour peu de temps, allégé la souffrance de certaines personnes. Mais pour chaque patient aidé, je savais qu’un autre avait besoin d’une opération dans un hôpital moderne — un service tout simplement inaccessible pour beaucoup. Un engagement renouvelé par l’espérance des parents Je compte continuer à faire du bénévolat avec Second Generation Aid. Notre objectif est d’y retourner deux ou trois fois par an, selon les ressources disponibles. Avoir été sollicité pour aider au Liban a été un véritable honneur, mais ce sont surtout ces parents — ou futurs parents — qui, malgré les difficultés, souhaitent élever leurs enfants dans l’espoir d’un avenir de paix pour eux-mêmes, leur famille et leur pays, qui m’ont offert un immense sentiment d’espoir pour l’avenir, même en ces temps troublés.

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Une promesse tenue : simple hasard ou signe du destin ?

Par le Dr Giuseppe Martinelli, gynécologue à l’Aventino Medical Group, Rome  Lorsque le prêtre de l’ordre des Vincentiens a célébré notre mariage, Giulia et moi avons promis de consacrer une partie de notre temps et de notre profession aux œuvres gérées par leur ordre. L’occasion s’est présentée quelques mois après la fin de mon contrat à l’hôpital, résilié unilatéralement. Une invitation inattendue L’amie des Pouilles de mon épouse, une sœur Vincentienne responsable de la Caritas en Albanie, qui venait souvent se rafraîchir dans les collines lucaniennes en été, a immédiatement saisi l’occasion lorsqu’elle a appris ma nouvelle disponibilité. Elle m’a proposé de la rejoindre en Albanie, dans la province d’Elbasan, où elle dirigeait une maison d’accueil à Mollas et un centre pour adolescents à Cerrik. Là-bas, de nombreuses femmes n’avaient aucun accès à la prévention ni à un suivi gynécologique : certaines n’avaient pas été examinées depuis des années. Une jeune femme en quête d’aide C’est dans ce contexte qu’on m’a demandé de m’occuper d’une jeune femme qui collaborait avec les sœurs à la gestion de la maison d’accueil, qui héberge encore aujourd’hui une douzaine d’enfants abandonnés. Elle désirait ardemment une grossesse, mais avait déjà connu au moins deux fausses couches tardives. L’examen gynécologique semblait normal, mais grâce à une échographie — réalisée avec un appareil apporté d’Italie et remis en état grâce au Rotary du district Pouilles et Basilicate — la cause est apparue : un septum utérin divisant la cavité, empêchant une grossesse à terme. Une solution possible La seule solution était l’ablation du septum, une intervention de métroplastie par résectoscopie hystéroscopique, sous anesthésie générale et selon une technique mini-invasive. Il fallait trouver une clinique équipée, avec bloc opératoire, matériel adapté et personnel qualifié — ce qui n’est ni évident, ni bon marché en Albanie. La clinique, le départ, l’intervention Grâce à la providence des sœurs — et à la ténacité de la patiente — une clinique privée accepta de prendre en charge les frais, à condition que ce soit moi qui réalise l’intervention. Une fois les délais fixés, je partis pour l’Albanie. Je m’occupai de la préparation préopératoire, coordonnai l’équipe opératoire et vérifiai le bon fonctionnement du matériel. L’intervention se déroula normalement, et la patiente fut sortie le jour même, après quelques heures d’observation. Le suivi et l’attente Le suivi s’est fait à distance, grâce à l’intermédiation des sœurs. Je recommandai d’attendre avant de tenter une nouvelle grossesse. Après quelques mois, le cycle se normalisa et les symptômes s’atténuèrent dès la première menstruation. Les examens gynécologiques et échographiques, trimestriels, confirmèrent qu’une conception était enfin possible. Une nouvelle vie L’attente fut courte. La peur d’une nouvelle perte était grande, mais grâce aux soins, à l’attention — et à la volonté du Seigneur — elle atteignit le septième mois. Entre-temps, elle s’était installée en Grèce avec son mari. Elle fut hospitalisée et mit au monde une petite fille — prématurée, mais vive et pleine de vie — qui remplit encore aujourd’hui leur foyer de bonheur. Le 2 septembre 2023, sœur Camilla m’écrivit : « Ciao Beppe, Bona m’a envoyé ce message, je suis ravie. Merci pour ton professionnalisme. » Et le message de la jeune femme disait : « Bonjour Mater Camilla ! Hier, j’ai accouché d’une petite fille. Je vais très bien. Merci infiniment ! Grâce à vous, aujourd’hui je suis MÈRE ! » Hasard… ou amour du métier ? Hasard ou simple coïncidence ? Peut-être. Mais aussi un peu de détermination et beaucoup d’amour pour son métier — la récompense la plus authentique et gratifiante pour le temps donné aux autres. Une mission qui continue La collaboration avec la maison d’accueil continue. Aujourd’hui, nous sommes trois médecins à nous rendre régulièrement en Albanie : mon épouse Giulia, endocrinologue et interniste ; notre ami Giuseppe, pédiatre que tout le monde appelle Pino ; et moi, gynécologue. Chaque fois que nous y allons, c’est une fête ! Une manière simple et concrète de mettre notre profession au service de ceux qui en ont le plus besoin.

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« Mission toilettes » : pourquoi les intestins se bloquent-ils en vacances ?

Par la Dre Valeria Gianfreda, Gastroentérologue – Aventino Medical Group, Rome Quand les vacances mettent l’intestin en crise Nouveaux horaires, lits différents, chaleur, manque d’intimité… et les intestins se rebellent. Beaucoup de personnes ressentent un ralentissement du transit intestinal pendant les vacances, avec ballonnements, sensation de lourdeur et difficulté à évacuer. Des troubles fréquents, mais encore trop souvent négligés. Même ceux qui sont réguliers à la maison peuvent se sentir soudainement « bloqués » après quelques jours de voyage. Qu’est-ce qui change vraiment en voyage ? De nombreux facteurs entrent en jeu :● Le régime alimentaire à l’hôtel, souvent riche en protéines et pauvre en fibres● La réduction de l’activité physique● L’altération du rythme veille-sommeil● La déshydratation, surtout en été● Et aussi la gêne d’aller aux toilettes hors de chez soiTous ces éléments ralentissent le péristaltisme, c’est-à-dire les mouvements naturels de l’intestin qui facilitent l’évacuation. Un tabou à dépasser : comment on va aux toilettes Parler de l’intestin reste un tabou — encore plus quand il s’agit d’évacuation. Pourtant, la posture, le temps et la forme des selles sont des signaux clés de notre bien-être. Surmonter la gêne et apprendre à les écouter peut vraiment faire la différence. Posture, durée, habitudes : bien aller à la selle La façon dont on évacue compte. La posture classique assise à 90° sur les toilettes n’est pas la plus physiologique. En position accroupie, l’angle entre le rectum et l’anus se redresse, facilitant le passage des selles.Un petit repose-pieds sous les pieds pour relever les genoux aide à recréer cette condition, en réduisant l’effort et en prévenant la constipation et les hémorroïdes.Autre point fondamental : le temps. Il ne faut ni retenir l’envie, ni rester trop longtemps assis, surtout avec un livre ou un téléphone. L’évacuation est un acte réflexe et coordonné, à respecter au bon moment. Ne pas ignorer les signaux : regardez dans la cuvette Observer ses selles est un geste simple mais souvent évité. L’échelle de Bristol, utilisée en médecine, classe les selles selon leur forme et leur consistance :● Type 1-2 : billes dures et segments secs → constipation● Type 3-4 : forme allongée et lisse → transit normal● Type 5-6 : fragments mous ou pâteux → transit accéléré● Type 7 : liquides → diarrhée ou infectionUn changement occasionnel peut être normal. Mais si cela persiste ou s’accompagne de douleur, de sang ou d’une perte de poids, il faut consulter un spécialiste. Comment aider l’intestin à voyager avec vous Pour éviter d’être « bloqué » pendant les vacances, quelques règles simples mais efficaces :● Boire 1,5 à 2 litres d’eau par jour, davantage en cas de chaleur ou d’effort● Consommer 25 à 30 g de fibres par jour, en combinant fibres solubles (avoine, fruits, légumineuses) et insolubles (légumes-feuilles, son, céréales complètes)● Bouger chaque jour : même 20–30 minutes de marche stimulent le péristaltisme● Respecter ses rythmes naturels, en prenant le temps le matin pour le petit déjeuner… et pour aller aux toilettes, sans précipitation ni distraction Si la régularité ne revient pas spontanément, on peut avoir recours à :● Des probiotiques avec souches spécifiques (Lactobacillus rhamnosus GG, Bifidobacterium lactis, Saccharomyces boulardii) efficaces pour moduler la flore intestinale et réduire les ballonnements● Des compléments de fibres comme le psyllium ou l’inuline, à introduire progressivement avec une hydratation adéquate● Des laxatifs doux mécaniques-lubrifiants, comme l’huile de paraffine. L’usage prolongé de laxatifs osmotiques est déconseillé car ils peuvent empêcher l’intestin de fonctionner naturellement Ces stratégies permettent de rester régulier même en déplacement, sans que les vacances deviennent un cauchemar intestinal. Quand consulter un spécialiste Si la constipation dure plus de trois semaines, revient régulièrement ou nuit à la qualité de vie, une consultation spécialisée est recommandée. Les lignes directrices de l’ESCP, du NICE et de la WGO suggèrent un bilan clinique en cas de symptômes persistants ou associés. Parmi les signes évocateurs d’une pathologie :● Prolapsus hémorroïdaire, avec ou sans prolapsus rectal interne ou externe● Syndrome de défécation obstructive (sensation d’évacuation incomplète ou fragmentée)● Douleurs abdominales de type colique par poussées Examens possibles :En plus de la consultation colonproctologique : échographie transanale, manométrie anorectale, coloscopie et défécographie dynamique. Une évaluation complète permet non seulement d’exclure des pathologies, mais aussi de personnaliser les traitements pour améliorer durablement le transit. Signes à ne pas ignorer – selon les directives ESCP et NICE Une consultation spécialisée est recommandée en cas de :● Constipation persistante au-delà de 3 semaines● Sensation d’évacuation incomplète ou blocage rectal● Saignement anal récurrent ou sang mélangé aux selles● Perte de poids involontaire● Douleurs abdominales récurrentes● Antécédents familiaux de cancer colorectal ou de maladies inflammatoires chroniques de l’intestin● Alternance de constipation et de diarrhée Les intestins ne prennent pas de vacances : écoutez-les Prendre soin de ses intestins, c’est améliorer sa qualité de vie. Même en vacances, il est possible de respecter ses rythmes, adopter de bonnes habitudes et — pourquoi pas — mieux connaître son corps. Parler de selles ne doit pas être un tabou : c’est un signe d’attention à sa santé. Chirurgie colo proctologique et pelvienne – Aventino Medical Group

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Tongs, randonnées imprévues et douleurs qui s’invitent au retour

Par le Dr Patrice Gestraud, orthopédiste à l’Aventino Medical Group, Rome Quand l’été met à l’épreuve vos pieds et articulations Chaque été, je vois en consultation de nombreux patients qui rentrent de vacances avec des douleurs aux chevilles, pieds, genoux ou mains.Marcher avec des chaussures inadaptées, soulever des bagages lourds ou pratiquer des sports inhabituels peut sembler anodin, mais provoque souvent inflammations, surcharges articulaires ou blessures.La tendinite — voire la rupture du tendon d’Achille — est un exemple courant, surtout chez ceux qui ne font pas d’échauffement ni d’étirements avant de jouer, notamment au tennis.Ces troubles sont fréquents, souvent sous-estimés, mais peuvent affecter le quotidien sur plusieurs semaines ou mois s’ils ne sont pas pris en charge. Des chaussures légères… mais pas pour les articulations Tongs, sandales plates ou chaussures sans maintien semblent parfaites pour l’été, mais elles obligent le pied à travailler de manière instable et sans amorti.Cela peut provoquer fasciites plantaires, métatarsalgies, tendinites du tibial postérieur ou du tendon d’Achille. La posture peut aussi être altérée, générant des douleurs lombaires ou aux genoux.Je recommande donc d’alterner chaussures ouvertes et fermées, et de privilégier semelles ergonomiques si l’on prévoit de marcher longtemps. Quand le mouvement improvisé cause des soucis Randonnées en montagne, balades urbaines ou sports de plage sont excellents pour la santé… à condition d’être bien préparé.Cela signifie commencer des exercices de renforcement musculaire 15 jours avant le départ.Chaque année, je traite des patients pour : Une évaluation clinique précise et une échographie permettent d’agir rapidement. Traitements conservateurs et chirurgie mini-invasive Autant que possible, les pathologies sont traitées de manière conservatrice : infiltrations, attelles, kinésithérapie et orthèses sur mesure.Si la douleur persiste ou en cas de lésion structurelle, une intervention chirurgicale mini-invasive peut s’avérer nécessaire.Parmi les pathologies couramment opérées : Un parcours de soin intégré et personnalisé À l’Aventino Medical Group, nous réalisons rapidement échographies musculo-squelettiques et infiltrations échoguidées.Pour les examens de 2ᵉ niveau (radio, scanner, IRM), nous orientons nos patients vers des centres partenaires de confiance.Il en va de même pour la rééducation : nous recommandons des centres spécialisés assurant continuité et qualité de soin.Notre objectif est de proposer une prise en charge complète, rapide et adaptée à chaque situation. Prévenir d’abord, soigner vite ensuite Si une douleur dure plus de 2–3 jours, s’aggrave au mouvement ou gêne le quotidien, il ne faut pas la négliger.Un diagnostic précoce et quelques mesures simples permettent d’éviter bien des complications.👉 Pour toute gêne articulaire ou musculaire après les vacances, ou pour un avis spécialisé, prenez rendez-vous : nous établirons ensemble le parcours de soin le plus adapté.