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Se soigner à Rome : comment naviguer entre SSN et privé sans perdre de temps ?

Vous pouvez vous soigner via le SSN (public) et le secteur privé. Ils se combinent souvent. Vous trouverez ici : comment accéder aux soins, les documents utiles, paiements/remboursements, et quand choisir l’un ou l’autre. Comment fonctionne le SSN à Rome, concrètement ? Points forts : réseau hospitalier, prise en charge des maladies chroniques, hospitalisation couverte.Limites fréquentes à Rome : délais d’attente pour consultations/examens, disponibilité inégale, barrière linguistique. Comment fonctionne le privé (avec ou sans assurance) ? Points forts : rapidité, horaires flexibles, équipe multilingue, accompagnement assurances.Limites : coûts si non couverts ; certaines polices exigent des pré-autorisations. SSN ou privé : quand l’un, l’autre, ou les deux sont-ils pertinents ? Quels documents avoir toujours sur soi ? Je ne suis pas résident à Rome/Italie : qu’est-ce qui change ? UE/EEE/CH en court séjour UE résident à Rome Hors UE avec titre de séjour et résident Hors UE non résident (tourisme/court séjour) Personnel d’organisations internationales (ex. ONU) Étudiants Hors UE : assurance souvent obligatoire ; possible inscription volontaire au SSN (avec contribution) si résident pour études Comment réserver des visites/examens dans le SSN étape par étape ? Comment se faire rembourser une visite privée par l’assurance? FAQ rapides (les plus recherchées) Puis-je combiner public et privé ?Oui, souvent la meilleure option : SSN pour continuité/hôpital ; privé pour délais, langue, coordination et assurances. Je ne suis pas au SSN : puis-je me faire soigner ?Oui : dans le privé (idéalement avec assurance). Pour les besoins indifférables dans le public, il existe STP/ENI. Comment fonctionnent les urgences ?Accès libre pour les urgences ; priorité fixée par un triage à 5 niveaux. Que couvre la TEAM/EHIC ?Des soins médicalement nécessaires dans le public, aux mêmes conditions que les résidents (ticket possible). Téléconsultations et visites à domicile disponibles ?Dans le privé, souvent oui, si cliniquement approprié. Checklist immédiate avant de sortir Numéros utiles Message clé (à retenir) À Rome, le public demeure central pour les urgences et la prise en charge des maladies chroniques, et les hospitalisations sont possibles tant dans le public que dans le privé. Le privé reste un canal primaire lorsque priment rapidité, multilinguisme, coordination entre spécialistes et une documentation d’assurance irréprochable. Combiner avec discernement les deux voies permet de se soigner mieux et plus vite.

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Rencontres avec la psychologue, spécialiste en psychothérapie de l’enfant et de l’adolescent

Rédigé par la Dr Emanuela Quagliata, psychologue à l’ Aventino Medical Group, Rome À l’Aventino Medical Group, avec le soutien des pédiatres, nous organisons, avec la thérapeute en neuropsychomotricité, des journées spéciales dédiées à la parentalité et au développement du bébé durant les premiers mois de vie. Elles sont conçues pour offrir aux nouveaux parents un espace d’écoute, d’observation et d’échange serein autour des premiers pas de croissance de leur enfant. Ces rencontres n’ont pas pour objectif de fournir des prescriptions ni d’indiquer aux parents ce qu’ils « doivent » faire. Chaque famille est unique, tout comme chaque enfant : ce qui est utile dans une situation peut ne pas l’être dans une autre. Chaque enfant grandit à son propre rythme : certains sont plus rapides dans certains aspects du développement et plus lents dans d’autres. L’expérience de la grossesse et de l’accouchement est vécue différemment par chaque mère et au sein de chaque couple parental. L’objectif est d’observer ensemble le bébé, d’explorer ses signaux et de réfléchir aux attitudes les plus appropriées à adopter avec lui, en enrichissant sa propre façon de le comprendre. Parfois, il peut être très utile de regarder les difficultés sous un angle nouveau. Nous pouvons nous arrêter sur les sentiments de la mère et du père, sur les éventuelles difficultés liées à l’allaitement, sur l’organisation des rythmes de sommeil ou encore sur les difficultés à comprendre ou à tolérer les pleurs du bébé. Durant les premiers mois de vie, le bébé dispose de possibilités très limitées pour exprimer ce qu’il ressent et vit un état de dépendance et d’impuissance totale à l’égard de la personne qui prend soin de lui. Nous chercherons à réfléchir au sens de ses comportements, ainsi qu’aux doutes et préoccupations des parents. Les mères et les pères peuvent trouver de nombreuses informations pratiques dans les livres et les manuels consacrés à la nutrition, à l’hygiène et aux soins quotidiens. Dans ces rencontres, en revanche, nous faisons de la place à la compréhension de la signification des états émotionnels du bébé, de son développement mental et de sa relation avec ses parents et avec les autres figures significatives. Le lien avec le bébé commence bien avant la naissance : depuis longtemps déjà, la mère, tout comme le père, s’est imaginée dans le rôle de parent. Certaines peurs sont présentes avant même la grossesse ; parfois elles sont claires, d’autres fois elles restent plus cachées. La naissance d’un enfant entraîne inévitablement des changements dans la vie du couple, et l’attente elle-même augmente l’attention portée à son propre monde intérieur et au bébé qui est sur le point d’arriver. Lorsque la grossesse ou l’accouchement sont difficiles, ou ont comporté un risque pour la mère ou pour l’enfant, ces peurs peuvent influencer la formation du premier lien d’attachement. Partager ses pensées et ses préoccupations permet de construire plus sereinement ce lien d’attachement fondamental, en favorisant le bien-être de l’enfant et de sa famille. Quagliata, E. Neonati Visti da Vicino, Astrolabio. Closely Observed Infants, Karnac.Quagliata, E. Cento e un Bambino, collection de livres pour parents.Quagliata, E. Un Bisogno Vitale : difficoltà alimentari nell’infanzia, Astrolabio.

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Méthode NBO : comment décrypter les signaux du nouveau-né et soutenir vos premiers pas ensemble

Rédigé par la Dr Margherita Dal Piaz, Thérapeute en neuropsychomotricité de l’enfant, Aventino Medical Group, Rome Les premiers jours et les premières semaines après la naissance sont une période unique et intense, au cours de laquelle chaque parent cherche à comprendre son bébé : pourquoi il pleure, ce qui le calme, ce qu’il apprécie ou ce qui le dérange.Pendant cette période où tout est nouveau, et où la joie alterne souvent avec la fatigue et l’inquiétude, de nombreuses questions émergent : « Est-ce que je comprends vraiment mon bébé ? Est-ce que je réponds correctement à ses besoins ? »La NBO – Newborn Behavioral Observation System est née précisément pour accompagner les familles dans cette phase délicate, en les aidant à lire les signaux du nourrisson et à découvrir ses compétences et ses modes de communication dès les tout premiers jours de vie. Qu’est-ce que la méthode NBO ? La NBO est une approche d’observation mise au point par le pédiatre américain T. Berry Brazelton et son équipe à l’Université Harvard. Elle se présente comme une rencontre entre les parents, le bébé et un professionnel formé, au cours de laquelle on explore ensemble la façon dont le nourrisson communique et entre en relation avec son environnement. Pendant la séance, le professionnel guide les parents pour repérer comment le bébé réagit aux différents stimuli — voix, lumière, contact — et comment il exprime ses besoins à travers ses gestes, son tonus, son regard et ses pleurs. La NBO n’est ni un test ni un examen clinique : c’est un moment de découverte partagée qui permet aux parents d’observer leur bébé, de reconnaître ses compétences et de mieux comprendre la façon dont il signale ce dont il a besoin. Apprendre à lire ces signaux aide les parents à se sentir plus sûrs d’eux et plus tranquilles, et permet au bébé de se sentir vu, accueilli et compris. Cette dynamique renforce la confiance réciproque et pose des bases solides pour la relation et pour le développement neuro-psychomoteur. On sait aujourd’hui qu’un environnement de soins attentif, sécurisant et réceptif a un impact positif sur la croissance de l’enfant et sur le développement de ses capacités d’adaptation, d’interaction et d’apprentissage. En résumé, la NBO agit comme un pont de communication : elle aide le nourrisson à se sentir compris et permet aux parents de découvrir qu’ils possèdent déjà en eux les ressources nécessaires pour l’accompagner. La NBO à l’Aventino Medical Group : des séances personnalisées pour comprendre votre bébé et renforcer le lien parents-enfant À l’Aventino Medical Group, nous considérons la méthode NBO comme un outil concret pour aider les parents à décoder les signaux de leur bébé dans la vie de tous les jours.Les séances sont réalisées par notre thérapeute en neuropsychomotricité, spécialement formée à la NBO, et adaptées à chaque famille : rythme du bébé, questions des parents, situations qui suscitent des doutes (pleurs, sommeil, allaitement, moments d’éveil, interaction avec la fratrie…). Une séance dure environ 30 à 45 minutes et se déroule dans un environnement calme, respectueux des temps de veille et de repos du nourrisson.La NBO est particulièrement indiquée au cours des trois premiers mois de vie, mais peut être utile à tout moment où les parents ressentent le besoin de mieux comprendre leur bébé. Elle s’adresse à toutes les familles, sans prérequis ni situation problématique : c’est un espace privilégié pour observer ensemble votre enfant, repérer ses compétences et poser les bases d’un lien sécurisant. Conclusion : offrir aux parents un outil concret pour mieux lire leur nouveau-né La méthode NBO ne remplace pas une consultation médicale classique : elle la complète en donnant aux parents des clés de lecture simples et fiables pour comprendre leur bébé, se sentir plus confiants et soutenir son développement émotionnel et neuro-psychomoteur. En apprenant à reconnaître les signaux du nourrisson, les parents ajustent plus facilement leurs réponses, et le bébé se sent davantage protégé, compris et apaisé. 👉 Si vous attendez un enfant ou venez d’accueillir votre bébé, vous pouvez réserver une séance NBO auprès de notre thérapeute en neuropsychomotricité à l’Aventino Medical Group, à Rome. Un accompagnement spécialisé pour transformer les premiers doutes en ressources concrètes, renforcer le lien avec votre bébé et construire dès maintenant un environnement sécurisant.

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Prendre soin du plancher pelvien : la clé cachée du bien-être

Par Dr Christine Blondeel, sage-femme experte en rééducation du plancher pelvien à l’Aventino Medical Group, Rome Introduction : mieux connaître le plancher pelvien pour lever les tabous Le plancher pelvien est un ensemble de muscles et de tissus qui soutiennent des organes essentiels comme la vessie, l’utérus et le rectum. Malgré son rôle fondamental, c’est encore un sujet peu discuté, malheureusement entouré de tabous culturels. Beaucoup de femmes vivent avec des pertes urinaires, une sensation de pesanteur ou des douleurs, pensant qu’il s’agit de gênes “normales” liées à l’âge ou à l’accouchement. En réalité, ce n’est pas le cas !La rééducation du plancher pelvien, grâce à des programmes ciblés, permet de retrouver fonctionnalité, tonicité là où c’est nécessaire ou, au contraire, détente et bien-être, redonnant ainsi qualité de vie. Selon l’International Urogynecological Association, des parcours personnalisés de rééducation réduisent significativement l’incontinence urinaire et améliorent la santé sexuelle ainsi que le bien-être psychologique. Qu’est-ce que le plancher pelvien et pourquoi est-il important ? Le plancher pelvien est une structure musculaire qui agit comme un “hamac de soutien” pour les organes pelviens. Son bon fonctionnement est essentiel pour le contrôle de la continence urinaire et fécale, la stabilité lombaire et la santé sexuelle. Lorsqu’il perd de la tonicité et de l’élasticité, il peut provoquer des symptômes tels que l’incontinence, les douleurs pelviennes chroniques, le prolapsus ou des difficultés dans les rapports sexuels. De nombreuses études, dont celles publiées dans le Journal of Women’s Health, démontrent que la prévention et l’entraînement ciblé de ces muscles réduisent le risque de troubles, même pendant la ménopause. Parler du plancher pelvien, c’est parler de la santé des femmes à 360 degrés, en rompant un silence qui a trop longtemps limité leur qualité de vie. Qu’est-ce que la rééducation du plancher pelvien ? Les programmes de rééducation du plancher pelvien sont des parcours personnalisés, adaptés aux besoins de chaque patiente. Ils peuvent inclure des exercices de Kegel guidés, des techniques de conscience corporelle, du biofeedback, de l’électrostimulation et de l’éducation posturale. L’objectif est de restaurer la fonctionnalité des muscles du plancher pelvien, d’améliorer le contrôle et de redonner du bien-être. Les lignes directrices de l’European Urology Association confirment que la rééducation réduit jusqu’à 70 % les épisodes d’incontinence chez les femmes présentant des symptômes légers et améliore significativement la qualité de vie. L’approche est non invasive et progressive, avec des résultats concrets dès les premières semaines. À l’Aventino Medical Group, ces programmes sont conduits par une sage-femme experte en rééducation du plancher pelvien, en étroite collaboration avec les gynécologues et les urologues du centre. Quand consulter une spécialiste ? Intervenir tôt est la clé du bien-être Beaucoup de femmes attendent trop longtemps avant de consulter un·e professionnel·le, normalisant des symptômes comme de petites pertes urinaires, des douleurs pendant les rapports ou une sensation de pesanteur pelvienne. En réalité, plus l’intervention est précoce, meilleurs sont les résultats. Il est conseillé de consulter une spécialiste dès l’après-accouchement, à la ménopause ou dès l’apparition des premiers symptômes.À l’Aventino Medical Group, la sage-femme spécialisée en rééducation du plancher pelvien travaille en synergie avec les gynécologues et les urologues, offrant une approche multidisciplinaire centrée sur la femme. Ce parcours ne résout pas seulement des troubles gênants, il redonne aussi confiance, énergie et liberté. Conclusion : investir dans la santé des femmes Le plancher pelvien est un pilier de la santé féminine, encore trop méconnu. Des troubles comme l’incontinence ou la douleur pelvienne ne doivent pas être acceptés comme inévitables : grâce à des programmes ciblés de rééducation, menés par des professionnels expérimentés, il est possible de retrouver une vie sereine et active.👉 N’attendez pas : prenez rendez-vous avec notre sage-femme experte en rééducation du plancher pelvien à l’Aventino Medical Group de Rome pour évaluer le parcours le plus adapté à vos besoins.

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Bilan de santé au retour de l’été : pourquoi c’est essentiel

 Par le Dr Alessandro Cristaudo, médecin interniste à l’Aventino Medical Group, Rome L’automne comme opportunité de prévention Octobre marque une nouvelle phase de l’année : journées plus courtes, changement de température, reprise complète du travail et des activités sportives. C’est aussi une période où certains troubles apparaissent plus fréquemment : fatigue, palpitations ou extrasystoles liées au stress professionnel, maux de tête, baisse de concentration ou troubles digestifs. Des signaux souvent négligés mais qui méritent attention. Un check-up d’automne ne signifie pas subir une batterie d’examens inutiles, mais faire un point ciblé sur son état de santé avec un médecin interniste. Grâce à l’entretien et à l’examen clinique, le médecin peut évaluer les principaux paramètres de risque et, si nécessaire, prescrire des examens spécifiques. Que comprend un check-up de base Il n’existe pas de schéma rigide, mais certains examens sont régulièrement recommandés : La force du check-up réside non pas dans le nombre d’examens réalisés, mais dans leur pertinence par rapport à l’histoire clinique du patient. Un résultat isolé n’a pas de sens sans contexte médical. Pourquoi le diagnostic précoce fait la différence De nombreuses pathologies commencent silencieusement. L’hypertension, par exemple, peut rester asymptomatique pendant des années tout en augmentant progressivement le risque d’AVC et d’infarctus. Il en va de même pour une glycémie élevée (risque de diabète de type 2) ou un cholestérol élevé (athérosclérose). Un dépistage précoce permet d’agir avec des mesures simples mais efficaces : améliorer l’alimentation, pratiquer une activité physique régulière, réduire la consommation d’alcool et de tabac. Dans certains cas, un traitement médicamenteux précoce réduit considérablement le risque de complications. Selon l’Organisation mondiale de la santé, jusqu’à 80 % des maladies cardiovasculaires et des cas de diabète de type 2 pourraient être évités grâce au diagnostic précoce et à des changements de mode de vie. L’automne et les vaccins saisonniers Avec l’arrivée de l’automne, en plus des examens de contrôle, il est important de penser aux vaccinations : un geste simple qui réduit le risque de maladies pendant les mois froids. 👉 Associer un check-up d’automne à la prévention vaccinale signifie affronter l’hiver mieux protégé et assurer aussi le bien-être de son entourage. FAQ – Questions fréquentes Qui doit faire un check-up en automne ? Les personnes de plus de 40 ans, celles présentant des facteurs de risque (surpoids, tabac, antécédents familiaux de maladies cardiovasculaires) ou celles souhaitant simplement faire de la prévention. Quels examens sont essentiels ? Pression artérielle, analyses sanguines de base, examen interniste. Selon le profil clinique et les facteurs de risque, le médecin peut prescrire d’autres examens (ECG, échographies…). Faut-il avoir des symptômes pour programmer un check-up ? Non. Son utilité réside justement dans le diagnostic précoce, permettant d’agir avant l’apparition de troubles. Où faire un check-up à Rome ? À l’Aventino Medical Group, avec des internistes et plus de 20 autres spécialités disponibles. Conclusion : un investissement pour l’avenir Faire un check-up en automne signifie aborder la saison avec plus de conscience. Il ne s’agit pas seulement de rechercher des maladies, mais de valoriser la prévention, d’améliorer son mode de vie et de protéger sa santé à long terme. 👉 Réservez dès aujourd’hui votre check-up à Rome à l’Aventino Medical Group ou sur Doctolib.

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Prévention gynécologique : le rendez-vous à ne pas manquer

Prévention gynécologique : le rendez-vous à ne pas manquer Par la Dre Giorgia Soreca, Gynécologue à l’Aventino Medical Group, Rome La prévention comme investissement santé La santé gynécologique ne concerne pas seulement le traitement des troubles, mais surtout la prévention. Des contrôles réguliers et des dépistages ciblés permettent de diagnostiquer précocement infections, lésions et cancers, augmentant les chances de guérison et réduisant le recours à des traitements invasifs. L’automne, avec ses rythmes plus réguliers, est le moment idéal pour programmer une visite gynécologique. 20–30 ans : poser les bases de la prévention À cet âge, l’objectif est de prévenir les infections et de protéger la fertilité future. Ces années sont essentielles pour instaurer un mode de vie sain et une conscience gynécologique qui accompagnera les choix futurs. 30–40 ans : équilibrer travail, famille et santé C’est la décennie des grands défis : carrière, maternité, gestion du temps. Mais la prévention ne doit jamais être mise de côté. 40–50 ans : transition et nouveaux contrôles À ce stade, la prévention s’élargit car le corps commence à changer. C’est le moment de ne pas négliger les contrôles, car le dépistage précoce reste la clé de toute stratégie de santé. Après 50 ans : protection à long terme Avec la ménopause, certains risques évoluent, mais la prévention reste essentielle. FAQ – Les questions les plus fréquentes sur la prévention gynécologique À quelle fréquence dois-je faire un frottis ? Les contrôles annuels n’augmentent pas la protection mais peuvent générer de faux positifs et de l’anxiété. Toutefois, en cas de facteurs de risque (immunodépression, rapports non protégés, partenaires multiples, antécédents familiaux de cancers), il est recommandé d’avancer les contrôles. Faut-il continuer les visites gynécologiques après la ménopause ? Oui. Même si la fertilité est terminée, la santé gynécologique reste importante. Il est utile de surveiller sécheresse, douleurs pendant les rapports, incontinence ou prolapsus, ainsi que de poursuivre la prévention oncologique jusqu’à 64 ans. Le vaccin HPV est-il utile à l’âge adulte ? Oui. Bien qu’il soit plus efficace à l’adolescence, il peut avoir des bénéfices après 26 ans dans des situations cliniques choisies, en réduisant le risque d’infections persistantes et de lésions précancéreuses. Est-il normal d’avoir des cycles irréguliers après 40 ans ? Cela peut être lié à la périménopause, phase de transition avec des hormones fluctuantes et des cycles moins réguliers. Cependant, des cycles irréguliers peuvent aussi cacher d’autres pathologies (fibromes, polypes, troubles hormonaux) qui méritent un examen. Un point de référence à Rome À l’Aventino Medical Group, polyclinique au cœur de Rome, chaque femme trouve un parcours de prévention personnalisé, avec des spécialistes parlant anglais et d’autres langues. Cela crée une relation de confiance fondée sur la clarté, la compréhension et le professionnalisme. Qu’il s’agisse de jeunes femmes, de mères actives ou de patientes ménopausées, la prévention se construit toujours ensemble. Conclusion La prévention gynécologique évolue avec l’âge, mais reste toujours un rendez-vous à ne pas repousser. De la protection contre le HPV à la gestion de la ménopause, chaque étape de la vie nécessite des contrôles et stratégies adaptés. 👉 Prenez rendez-vous pour votre visite gynécologique à l’Aventino Medical Group à Rome et construisez avec nous le parcours de prévention le plus adapté.

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Anxiété saisonnière : transformer le stress en vitalité

Par la Dre Corinne Perisse, Médecin Psychothérapeute à l’Aventino Medical Group, Rome Quand le changement de saison devient un poids Le passage de l’été à l’automne n’est pas qu’une question de climat : il modifie les rythmes quotidiens, la lumière et l’humeur. Il est fréquent de se sentir plus fatigué, irritable ou démotivé. Pour certains, ces symptômes durent quelques jours ; pour d’autres, ils peuvent se transformer en véritable trouble, affectant la concentration, les relations et la qualité du sommeil.  Une étude publiée dans le Journal of Affective Disorders montre que les troubles liés aux changements de saison peuvent concerner jusqu’à 10–15 % de la population, avec une incidence plus élevée en automne et en hiver. Les symptômes à ne pas sous-estimer La psychothérapeute rappelle que les principaux signes de l’anxiété saisonnière peuvent inclure : Ignorés, ces symptômes peuvent s’installer et nuire au bien-être psychologique à long terme. Petites stratégies quotidiennes La prévention commence par des gestes simples et accessibles : Selon l’Organisation mondiale de la Santé, le mode de vie joue un rôle clé dans la prévention et la gestion des troubles anxieux. Quand demander de l’aide Les stratégies personnelles ne suffisent pas toujours. Si les symptômes persistent ou s’aggravent, il peut être utile de consulter un psychologue ou un psychothérapeute. L’accompagnement professionnel aide à comprendre les causes profondes de l’anxiété saisonnière et à développer des outils personnalisés pour y faire face. « La thérapie ne sert pas seulement à résoudre le malaise, » explique la psychothérapeute, « mais aussi à le transformer en ressource : apprendre à gérer l’anxiété peut devenir une occasion de développer de nouvelles énergies et motivations. » Conclusion L’anxiété saisonnière n’est pas un signe de faiblesse, mais une réponse naturelle du corps et de l’esprit au changement. La reconnaître est la première étape pour ne pas la subir. Avec de petites stratégies quotidiennes et, si nécessaire, un soutien psychologique, il est possible de transformer la fatigue du changement en énergie positive. 👉 Prenez rendez-vous avec un psychothérapeute de l’Aventino Medical Group à Rome et abordez le changement de saison avec des outils pratiques et efficaces.

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Chirurgie : mieux vaut agir que attendre

Par le Dr Matteo Gregori, Chirurgien général à l’Aventino Medical Group, Rome Quand le temps semble ne jamais suffir Anna a 42 ans, travaille à plein temps et a deux adolescents. Depuis des mois, elle vit avec une petite tuméfaction à l’aine, gênante surtout le soir, que son médecin a identifiée comme une hernie. « Je n’ai pas le temps pour une opération », se dit-elle à chaque fois. Ainsi, entre réunions, courses et devoirs scolaires, elle décide de repousser. Un jour, en soulevant un sac de courses, elle ressent une douleur vive. La tuméfaction, qui jusque-là rentrait facilement, devient douloureuse et irréductible. Elle doit se rendre aux urgences : la hernie s’est compliquée et nécessite une intervention immédiate. Ce qui aurait pu être un geste simple et programmé se transforme en opération plus longue et stressante, avec une convalescence imposée qui interrompt complètement sa routine. Cette histoire est fréquente. Selon le British Journal of Surgery, environ 30 % des patients qui repoussent de petites interventions finissent par les subir en urgence, avec un risque de complications triplé. De petites interventions qui changent la vie La chirurgie générale comprend des gestes qui, s’ils sont réalisés à temps, permettent une récupération rapide et réduisent considérablement les risques futurs, surtout grâce aux approches mini-invasives, laparoscopiques ou robotiques. Parmi les plus courants : Selon l’American College of Surgeons, 80 % des petites interventions programmées se déroulent sans complication, tandis qu’en urgence le risque est multiplié par plus de trois. L’automne : le moment idéal pour agir Septembre et octobre marquent un nouveau départ après l’été. C’est le moment où l’on reprend le rythme de travail et d’école, mais aussi le moment parfait pour se consacrer à sa santé. Les températures plus douces favorisent la récupération post-opératoire et permettent de planifier sereinement quelques jours de repos. Une étude publiée dans les Annali Italiani di Chirurgia montre que les patients qui choisissent d’être opérés rapidement vivent avec moins d’anxiété et reprennent plus vite leurs activités quotidiennes. Au contraire, ceux qui repoussent doivent souvent supporter pendant des mois douleurs, inquiétudes et limitations sociales ou professionnelles. Ce n’est pas qu’une question de médecine, mais de qualité de vie Repousser, c’est vivre avec la pensée constante d’un problème non résolu. Des gestes quotidiens – monter les escaliers, faire du sport, porter ses enfants – deviennent source de souci. Affronter l’intervention aujourd’hui, c’est au contraire se libérer de cette angoisse et retrouver une vie pleine, sans limites. La chirurgie préventive fait partie intégrante de la médecine moderne : elle ne sert pas seulement à soigner, mais aussi à éviter des complications plus graves. C’est un investissement sur la santé, le temps et la sérénité. Conclusion : mieux aujourd’hui que demain L’histoire d’Anna montre que repousser n’est pas toujours le choix le plus sûr. Avec l’aide d’un chirurgien expérimenté, de nombreuses petites interventions peuvent être réalisées rapidement, en toute sécurité et avec de courtes convalescences. 👉 Prenez rendez-vous avec le chirurgien général de l’Aventino Medical Group à Rome : ensemble vous pourrez évaluer le meilleur parcours, pour transformer une inquiétude en solution concrète.

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Maladies auto-immunes du système nerveux : quand les petits signaux ne doivent pas être ignorés

Par la Dre Eleonora Galosi, Neurologue à l’Aventino Medical Group, Rome Comprendre le début insidieux des maladies auto-immunes neurologiques « Souvent, les maladies auto-immunes du système nerveux commencent de manière insidieuse », explique la neurologue. Elles se manifestent par des troubles légers et difficiles à interpréter : fatigue persistante, faiblesse musculaire, fourmillements, légères difficultés de coordination, troubles de l’équilibre, maladresse dans les mouvements. Ces symptômes sont fréquemment sous-estimés ou attribués au stress. Pourtant, ils peuvent représenter les premiers signes de pathologies auto-immunes neurologiques, telles que la sclérose en plaques, les encéphalomyélites ou les neuropathies auto-immunes. Les reconnaître à temps permet de mettre en place des traitements efficaces et de prévenir la progression de la maladie. Qu’est-ce que les maladies auto-immunes du système nerveux ? Les maladies auto-immunes neurologiques sont des affections dans lesquelles le système immunitaire attaque par erreur les cellules nerveuses ou leurs gaines protectrices (myéline). Il en résulte un processus inflammatoire aigu ou chronique qui compromet la transmission du signal nerveux à différents niveaux, donnant lieu à une variété de symptômes neurologiques. Les plus connues sont la sclérose en plaques, la neuromyélite optique, le syndrome de Guillain-Barré et la myasthénie grave. Chaque pathologie évolue différemment et peut toucher des personnes d’âges et de profils cliniques variés, y compris de jeunes adultes. L’importance du diagnostic précoce Un diagnostic précoce est le premier outil pour limiter les lésions neurologiques et améliorer la qualité de vie. Les protocoles diagnostiques reposent sur une évaluation clinique approfondie, l’IRM cérébrale, les tests neurophysiologiques et, parfois, des procédures plus invasives comme l’analyse du liquide céphalo-rachidien par ponction lombaire. Intervenir aux stades précoces permet de réduire les rechutes, de ralentir la progression et de personnaliser la thérapie. Il est essentiel de s’adresser à des centres spécialisés, avec des neurologues expérimentés capables de reconnaître même les formes les plus discrètes. Une approche multidisciplinaire intégrée est indispensable pour assurer la sécurité et la cohérence des soins. Thérapies actuelles et nouvelles perspectives Aujourd’hui, les traitements des maladies auto-immunes neurologiques comprennent des médicaments immunomodulateurs ou immunosuppresseurs, des corticoïdes, des anticorps monoclonaux et des thérapies symptomatiques de soutien. Le choix du traitement dépend du diagnostic, du stade de la maladie et des caractéristiques du patient. Ces dernières années, la recherche a ouvert de nouvelles perspectives : médicaments plus sélectifs, thérapies personnalisées basées sur des marqueurs immunologiques, ainsi qu’approches de médecine régénérative. La rééducation neurologique joue également un rôle fondamental pour améliorer la fonctionnalité résiduelle et l’autonomie du patient. Vivre avec une maladie auto-immune neurologique Recevoir un diagnostic de maladie auto-immune neurologique implique de réorganiser sa vie quotidienne. Le soutien psychologique, la gestion du stress, une alimentation équilibrée et une activité physique adaptée peuvent contribuer à maintenir un bon équilibre psychophysique. La prise en charge multidisciplinaire – neurologue, kinésithérapeute, psychologue, nutritionniste – est aujourd’hui considérée comme une partie intégrante de la thérapie. L’environnement familial et social joue aussi un rôle essentiel : comprendre la maladie aide à l’affronter avec plus de sérénité. Conclusion Identifier ces troubles à un stade précoce ouvre la voie à des parcours de soins plus ciblés et à de meilleures perspectives de vie. Continuer à s’informer, consulter des spécialistes et rester attentif aux signaux de son corps permet de garder la possibilité de gérer la maladie de manière toujours plus efficace. Prenez soin de votre système nerveux Adressez-vous à des spécialistes qualifiés pour un parcours de santé personnalisé et multidisciplinaire.

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L’infirmier à domicile : un rôle essentiel pour les patients atteints de maladies auto-immunes à Rome

Par le Dr Nicola Verdirame, Infirmier à l’Aventino Medical Group, Rome Introduction : un service concret pour des besoins complexes Les maladies auto-immunes, telles que la polyarthrite rhumatoïde, le lupus érythémateux systémique et la sclérose en plaques, nécessitent des soins continus et parfois délicats. Les soins infirmiers à domicile, que je réalise pour l’Aventino Medical Group à Rome, sont conçus pour garantir aux patients un soutien technique qualifié directement chez eux. L’objectif est de simplifier la gestion des thérapies, de réduire les déplacements et d’assurer la continuité des soins dans le respect des prescriptions médicales. Services infirmiers à domicile : interventions complètes et précises Des soins de routine aux procédures les plus spécialisées L’activité quotidienne comprend des perfusions, l’administration de thérapies biologiques, des prélèvements, des pansements avancés et la gestion des cathéters. Toutes les interventions sont réalisées conformément aux indications des médecins de l’Aventino Medical Group et aux recommandations de l’Institut Supérieur de Santé et de l’OMS. Proposer ces prestations à domicile permet de gagner du temps, de réduire le stress lié aux déplacements et de maintenir une continuité thérapeutique même dans des situations cliniques complexes. Coordination avec les spécialistes impliqués Travail d’équipe lorsque nécessaire Lorsque le tableau clinique l’exige, l’activité infirmière à domicile est intégrée aux indications des différents spécialistes qui suivent le patient : rhumatologues, neurologues, internistes et autres professionnels de notre centre. Cette coordination permet de réaliser chaque procédure en accord avec le plan thérapeutique et de garantir la sécurité maximale ainsi que la cohérence des soins. L’infirmier comme formateur du proche aidant L’efficacité de ce rôle se manifeste pleinement dans sa capacité à transmettre des connaissances et des compétences pratiques au proche aidant. L’infirmier apprend au membre de la famille à : Ce processus de formation soulage non seulement le proche aidant d’une charge émotionnelle et pratique, mais en fait aussi un participant actif et conscient du parcours de soins. En se sentant plus compétent et sûr de lui, le proche aidant peut fournir une assistance de meilleure qualité, contribuant ainsi de manière significative au bien-être et à la qualité de vie du patient. L’infirmier à domicile devient alors un point de référence, un allié précieux pour toute la famille, garantissant une continuité des soins qui dépasse la simple prestation professionnelle. Un service qui facilite la gestion de la maladie Compétence technique au cœur de l’assistance Les soins à domicile ne se limitent pas à éviter les déplacements : il s’agit d’un modèle organisationnel qui permet de recevoir des soins spécialisés rapidement et dans le plein respect des prescriptions médicales. Des interventions techniques réalisées avec attention et précision contribuent à rendre la gestion des maladies auto-immunes plus simple et plus sûre pour les patients et leurs familles. Conclusion Les soins infirmiers à domicile représentent un soutien fondamental pour ceux qui doivent faire face à des thérapies complexes et continues. Grâce à mon travail pour l’Aventino Medical Group, il est possible de bénéficier de prestations qualifiées, y compris les plus délicates, directement à domicile, en coordination avec les spécialistes impliqués dans la prise en charge. 👉 Réservez un service infirmier à domicile afin d’évaluer ensemble le parcours le plus adapté à vos besoins.